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Retrouvez sur cette page toutes les informations nécessaires pour entrer en relation avec le SPIP de Besançon. Vous trouverez ici les coordonnées téléphoniques, les horaires de disponibilité et les instructions pour faciliter votre prise de rendez-vous.

Horaires d’ouverture du SPIP de Besançon

Les horaires d’ouverture du Service Pénitentiaire d’Insertion et de Probation de Besançon sont :

  • Lundi : ouvert de 9h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00.
  • Mardi : ouvert de 9h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00.
  • Mercredi : ouvert de 9h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00.
  • Jeudi : ouvert de 9h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00.
  • Vendredi : ouvert de 9h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00.
  • Samedi : fermé.
  • Dimanche : fermé.

Le SPIP de Besançon, situé dans le département du Doubs, est ouvert du lundi au vendredi, de 9h à 12h et de 14h à 17h.

Contacter le SPIP de Besançon

Numéro de téléphone du SPIP Besançon

Pour contacter l’antenne SPIP de Besançon, composez le numéro de téléphone 03 81 47 12 10.

Adresse postale

L’adresse postale de l’antenne SPIP Besançon est :

Service Pénitentiaire d’Insertion et de Probation du Doubs
48 A avenue Georges Clemenceau
25000 Besançon

Il existe aussi une antenne du Service pénitentiaire d’insertion et de probation basée à Montbéliard.

Le SPIP du Doubs et du Jura est un service déconcentré du ministère de la Justice, avec une compétence bi-départementale. Son siège administratif est situé à Besançon et il dépend de la direction interrégionale des services pénitentiaires de Dijon.

Plan du SPIP de Besançon

Prison de rattachement

Cette antenne SPIP intervient en milieu fermé à la maison d’arrêt de Besançon. Vous pouvez contacter un conseiller CPIP par téléphone ou par mail pendant les horaires d’ouverture au numéro de téléphone indiqué ci-dessus ou au 03 81 48 64 50.

Il existe d’autres antennes du Service pénitentiaire d’insertion et de Probation dans la région Bourgogne-Franche-Comté dont le SPIP Varennes-le-Grand.

Le Service Pénitentiaire d’Insertion et de Probation (SPIP) de Besançon au service de la réinsertion

Le Service Pénitentiaire d’Insertion et de Probation (SPIP) de Besançon, en activité depuis 20 ans, joue un rôle central dans la gestion des alternatives à l’incarcération et la réinsertion des détenus. Installé avenue Georges Clemenceau, le SPIP travaille quotidiennement à prévenir la récidive en collaboration avec d’autres institutions. Voici un tour d’horizon de ses missions et actions principales.

Les objectifs du SPIP : accompagner la réinsertion et prévenir la récidive

La mission principale du SPIP de Besançon est de gérer la réinsertion des détenus tout en veillant au respect des sanctions prononcées par le juge d’application des peines (JAP). Selon Éric Pourcelot, chef d’antenne, « il existe de nombreuses alternatives à l’incarcération » pour accompagner les condamnés, comme la prison avec sursis, la libération conditionnelle, le travail d’intérêt général, ou encore l’aménagement des peines.

Des alternatives à l’incarcération

Les conseillers du SPIP jouent un rôle clé dans le suivi des détenus en milieu ouvert et fermé. Ils interviennent pour proposer des mesures alternatives à la prison. Parmi ces alternatives, on retrouve :

  • Le sursis et la mise à l’épreuve.
  • La libération conditionnelle.
  • Le travail d’intérêt général.
  • Le contrôle judiciaire.

Ces mesures permettent d’éviter l’enfermement systématique tout en favorisant la réinsertion des individus. L’objectif est clair : réduire le risque de récidive.

Le rôle du SPIP dans la réinsertion

Les conseillers pénitentiaires sont responsables du suivi des détenus, qu’ils soient en milieu ouvert ou en établissement pénitentiaire. En milieu fermé, leur travail se concentre sur la préparation à la sortie, avec pour finalité la réinsertion sociale des individus. En ce sens, le SPIP contribue à « rétablir le contrat social« , selon Jean-Michel Laurent, directeur de la maison d’arrêt de Besançon.

Le travail du SPIP ne se limite pas à prévenir la récidive. Il aide aussi à éviter d’autres problématiques telles que le suicide en prison.

Un manque de moyens pour des missions d’envergure

Malgré l’importance de leur mission, les conseillers du SPIP souffrent d’un manque de moyens. Chaque conseiller doit suivre en moyenne 140 personnes en milieu ouvert, ce qui rend difficile un accompagnement personnalisé et approfondi. Ce problème est particulièrement préoccupant dans un contexte où la surcharge carcérale est également une réalité.

Les actions du SPIP : sécurité publique et prévention de la récidive

Le SPIP du Doubs et du Jura accompagne les personnes sous main de justice à travers des entretiens individuels et des actions collectives. Ses missions principales incluent :

  • S’assurer de l’exécution des sanctions pénales,
  • Contribuer à la sécurité publique,
  • Mettre en place des actions pour prévenir la récidive,
  • Favoriser l’insertion ou la réinsertion des personnes confiées.

Ces actions s’inscrivent dans le cadre des politiques publiques, en lien avec d’autres services de l’État, les collectivités territoriales, et les partenaires locaux.


Le SPIP de Besançon continue d’être un acteur clé dans le dispositif de réinsertion et de prévention de la récidive, bien que des améliorations, notamment en termes de moyens, soient nécessaires pour répondre aux défis

Source : estrepublicain.fr

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